Dans l’ombre douce des soirs étoilés,
Se cache une âme, ni parfaite, ni parée,
Des failles visibles, des cicatrices avouées,
L’être imparfait, mais unique et beau à jamais.
Tel un vieux chêne aux branches tordues,
Chaque ligne raconte des histoires perdues,
Des rêves égarés, des chemins parcourus,
L’être imparfait, mais unique et toujours vu.
Les éclats de rire, les larmes versées,
Forment une mélodie, douce et nuancée.
Des erreurs commises, des leçons gravées,
L’être imparfait, mais unique et tant aimé.
Un sourire esquissé malgré les tempêtes,
Un regard franc, une main offerte.
Des faiblesses qui forgent une force secrète,
L’être imparfait, mais unique et toujours honnête.
Au creux de ses mains, le monde se dessine,
Fragile et fort, simple et complexe à la fois.
Des imperfections qui rendent la vie divine,
L’être imparfait, mais unique sous tous ses émois.
Car c’est dans les fissures que la lumière entre,
Éclairant le cœur, illuminant l’être.
Un éclat brut, pur, sans fard ni ventre,
L’être imparfait, mais unique et sans mètre.
Alors, embrasse ta beauté, chère imperfection,
Chaque défaut, chaque trait, chaque passion.
Car c’est l’être imparfait qui fait le don,
D’une vie unique, belle, sans comparaison.
Extrait du recueil (poésie) de Samuel
Комментарии