Tous les transphobes aboient, un bruit sourd et cruel,
Et chaque personne trans en ressent la détonation,
Un coup dans l'âme, une onde de douleur réelle.
Les transphobes radicales tissent, au fil de leur voix,
De leurs gestes et de leurs textes, une trame de mépris,
La vie dégradante des personnes trans, un sort si froid.
Mais malgré les aboiements, les voix qui blessent,
Les âmes courageuses se lèvent, avec tendresse,
Portant haut leur identité, leur vérité nue,
Contre vents et marées, contre haine et courroux.
Chaque mot cruel, chaque regard de glace,
Renforce leur détermination, leur force et leur audace.
Dans les ombres jetées par des esprits bornés,
Brille la lumière d'une vie affirmée.
Les transphobes tissent des chaînes de haine,
Mais chaque personne trans, par sa vie sereine,
Dissout les liens, défait les nœuds cruels,
Et forge sa voie, son chemin d'éternel.
Les détonations résonnent, échos lointains,
Mais l'amour et la résilience tracent le chemin,
D'une vie où l'authenticité trouve sa place,
Où chaque être peut fleurir, dans la paix et la grâce.
Les aboiements s'éteignent, les voix se font douces,
Quand l'amour triomphe, et que les cœurs s'épousent.
Les gestes se tendent, les mains se rejoignent,
Et chaque personne trans trouve sa demeure, enfin.
Extrait du journal (poésie 2024) de Samuel
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