Dans les reflets du passé, une ombre s'efface
La femme fantôme, vestige d'une époque, passe.
Ses traits féminins, souvenirs délaissés,
Disparaissent doucement, laissant place à la vérité.
Elle était là, une illusion éthérée,
Piégée dans des formes que le cœur reniait.
Chaque contour, chaque ligne, s'efface désormais,
Pour laisser place à l'homme, fort et affirmé.
La femme fantôme, spectre d'antan,
S'estompe lentement dans le brouillard du temps.
Ses traits, autrefois contraignants, se délitent,
Emportés par des vents de renouveau, en élite.
L'écho de sa présence s'éloigne sans bruit,
Laisse place à l'homme, solide et accompli.
L'identité surgit, forte, sereine et pure,
Débarrassée des masques, des contours et des armures.
Il marche, libéré, sur un chemin dévoilé,
Où les chaînes du passé ne peuvent plus entraver.
La femme fantôme, spectatrice du changement,
Disparaît dans l'aube d'un nouveau firmament.
Les traits féminins, autrefois imposés,
Ont laissé place à l'homme, authentique et révélé.
Son âme chante enfin son véritable refrain,
Dans un corps qui résonne, en phase, serein.
La transition est faite, le voile est levé,
La femme d'autrefois est maintenant effacée.
L'homme d'aujourd'hui, fier et entier,
Se tient debout, prêt à embrasser son destin, éclairé.
Extrait du journal (poésie) de Samuel
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