Salut les ami.e.s ! Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui nous concerne tous (ou presque) : la masculinité parfaite. Vous savez, ce truc qu'on nous vend partout, comme une paire de chaussures qu'on n'a jamais vraiment demandé, mais qu'on est censé porter fièrement. Eh bien, spoiler alert, je ne rentre pas dans cette case. Et vous savez quoi ? C'est génial !
Imaginez un instant la vie comme une grande feuille de papier. Au centre, il y a les lignes bien droites et bien tracées, celles que tout le monde suit. C'est là que se trouvent les clichés de la masculinité : l'homme viril, musclé, stoïque et courageux. Mais c'est dans les marges que la magie opère. Oui, les marges ! Là où les plus beaux dessins prennent vie, là où la créativité s'exprime, et où l'authenticité brille de mille feux.
Parlons de ces fameux clichés. La barbe de trois jours parfaitement entretenue, les abdos en béton et la capacité à ouvrir n'importe quel pot de cornichons sans transpirer. Alors, premièrement, ma barbe pousse en mode patchwork, avec plus de trous que de poils. Mes abdos ? On dirait plus une pâte à modeler qu'une tablette de chocolat. Et les pots de cornichons ? Je les laisse à ma grand-mère. Sérieusement, elle a une technique infaillible que je n'ai jamais réussi à maîtriser.
Et puis, il y a la question des émotions. Ah, le fameux "un homme ne pleure pas". Franchement, si on n'était pas censés pleurer, pourquoi les films Pixar existent-ils ? Chaque fois que je regarde *Coco* ou *Toy Story 3*, je fonds comme une glace au soleil. Les larmes, c'est comme une purge pour l'âme. Et puis, avouons-le, c'est beaucoup plus sain que de taper dans un mur ou de crier après le grille-pain.
Vous vous demandez peut-être, "Mais alors, c'est quoi être un homme ?" Eh bien, je n'ai pas de réponse universelle. Pour moi, c'est simplement être soi-même. C'est apprécier ce qu'on aime sans avoir peur du jugement. Par exemple, j'adore faire des cookies (et les manger, évidemment). Certains diront que c'est un truc de fille. Moi, je dis que c'est un truc de gourmands, point final.
Être un homme, c'est aussi savoir rire de soi-même. Parce que, franchement, la vie est bien trop courte pour être prise trop au sérieux. Il m'est arrivé de sortir avec des chaussettes dépareillées, de renverser mon café sur ma chemise blanche en réunion, et de danser comme un pingouin sous ecstasy en soirée. Et vous savez quoi ? Je suis toujours là, vivant et bien.
Finalement, c'est dans ces moments de pure imperfection que je me sens le plus vivant. Ces petites erreurs, ces échecs, ces larmes, ces rires incontrôlables. C'est là que je trouve la beauté de la vie, loin des stéréotypes et des attentes irréalistes.
Alors, chers lecteurs, la prochaine fois que vous vous sentirez en dehors des cases, souvenez-vous de ceci : c'est dans les marges que se dessinent les plus beaux chefs-d'œuvre. Et n'oubliez pas, les marges ne sont pas des zones de rejet, mais des espaces de liberté où la véritable magie opère.
Sur ce, je vous laisse, j'ai un pot de cornichons à ouvrir (et peut-être une grand-mère à appeler). À bientôt pour de nouvelles aventures hors des lignes !
Extrait du journal personnel (humour) de Samuel
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