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  • zenitudetrans

Pourquoi les gens se mêlent-ils de la vie des autres ?


Bonjour à tous ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un sujet qui me fait toujours lever les sourcils de perplexité : pourquoi les gens se mêlent-ils autant de la vie des autres ? Honnêtement, que quelqu'un de mon entourage ou un parfait inconnu soit homosexuel, trans ou peu importe, en quoi cela me dérange-t-il ? Spoiler : ça ne me dérange pas du tout !


Prenons un exemple concret : disons que mon voisin décide de peindre sa maison en bleu vif. Ok, ce n’est pas ma couleur préférée (moi, j'aurais opté pour un beau mauve chatoyant), mais franchement, ça ne change absolument rien à ma vie. Est-ce que je vais passer mes journées à ressasser cette décision ? Non. Pourtant, certains semblent trouver là matière à une croisade personnelle.


Continuons avec une autre situation : je suis au restaurant et mon voisin de table commande un gigantesque plateau de fruits de mer pour le petit-déjeuner. Est-ce que cela me dérange ? À part le fait que j’en suis terriblement jaloux parce que j’adore les fruits de mer, mais que je suis allergique depuis quelques années, cela ne m’affecte en rien. Bon, si je commence à baver sur sa table, il risque de ne pas apprécier, mais c’est un problème entre moi et mes papilles frustrées, pas entre lui et ses choix culinaires.


Passons maintenant à une autre question existentielle : pourquoi est-ce que ça dérangerait quelqu'un qu'un homme porte une jupe ? La dernière fois que j'ai vérifié, les vêtements ne définissent pas la valeur d'une personne. Personnellement, je me demande si ces hommes en jupe ne se sentent pas tout simplement plus à l'aise. Et si, par hasard, les jupes ont des poches, ils ont déjà gagné sur les pantalons féminins standards !


Maintenant, parlons de ceux qui se scandalisent des choix de loisirs des autres. Si quelqu'un aime passer ses soirées à tricoter ou à collectionner des figurines de dinosaures, qu'est-ce que cela peut bien faire ? Moi, je trouve ça fascinant et admirable. Après tout, chacun trouve son bonheur comme il le peut. Je préférerais qu’on me demande des conseils sur la meilleure laine à utiliser pour un pull que d’entendre des critiques sur mes propres passe-temps.


Je pourrais continuer indéfiniment avec ces exemples : l'obsession des gens pour les choix alimentaires des autres (« Comment ? Tu es végétarien ? Et le bacon alors ? »), leurs goûts musicaux (« Sérieusement, tu écoutes du yodel mongol ? »), ou encore leurs décisions vestimentaires (« Tu portes encore des chemises à carreaux ? »). La vérité, c’est que tout cela ne devrait déranger personne.


Voici une théorie : se mêler de la vie des autres pourrait être une manière de détourner l'attention de ses propres insécurités. Critiquer les choix des autres pourrait donner l'illusion d'avoir un certain contrôle ou supériorité, masquant ainsi les propres doutes et imperfections de ceux qui jugent. Peut-être que, en se concentrant sur les décisions des autres, on évite de confronter ses propres problèmes.


Et puis, soyons honnêtes, j'en ai déjà assez à me concentrer sur ma propre vie pour m'occuper de celle des autres. Entre le travail, les responsabilités familiales, les amis, et mes propres loisirs, mon agenda est déjà bien rempli. Pourquoi irais-je ajouter du stress en me préoccupant des choix personnels de ceux qui m'entourent ? J'ai assez de soucis comme ça, merci bien !


En fin de compte, le monde serait bien plus agréable si chacun s’occupait de ses oignons et laissait les autres en paix. Imaginez un monde où l'on accepte les choix des autres sans juger, où l’on célèbre la diversité des goûts, des couleurs, et des modes de vie. Ce serait le paradis sur terre ! En attendant, je vais peut-être m'acheter une jupe violette et un bon livre de recettes de fruits de mer pour le plaisir des yeux.


Et vous, qu'en pensez-vous ?


À bientôt pour de nouvelles réflexions humoristiques et légèrement mordantes !


P.S. : Si vous avez des suggestions de couleurs de maisons ou des idées de loisirs excentriques, je suis preneur !


extrait du journal personnel (humour) de Samuel

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