Ah, la transidentité, cette aventure épique où chaque décision est comme choisir entre s'exiler dans un pays lointain ou simplement prendre une tasse de café ! C'est presque comme si notre réponse à la transphobie devait être aussi absurde que la transphobie elle-même.
Je me vois déjà, posant devant ma valise géante, en train de me demander sérieusement :
"Hmm, devrais-je m'exiler dans un pays lointain où personne ne me connaît et où je peux vivre ma vérité en paix, ou bien juste me faire un bon café et affronter le monde ?
" Ah, les dilemmes existentiels d'une personne transgenre !
Imaginez-vous, moi, en train de faire des recherches sur Google :
"Quel est le taux de transphobie dans ce pays reculé par rapport au taux de caféine dans ce café du coin ?"
Et bien sûr, en fin de compte, je me retrouve à peser le pour et le contre avec un sérieux digne d'un stratège militaire, alors que tout ce que je veux, c'est juste être moi-même sans avoir à me soucier du regard des autres.
C'est comme si la transphobie nous obligeait à jouer à un jeu de société bizarre où les règles sont toujours changeantes et où il n'y a jamais de gagnants. Mais devinez quoi ? Je refuse de jouer à ce jeu ! Parce que la vérité, c'est que la réponse à la transphobie ne réside pas dans l'exil ou dans une tasse de café, mais dans la lutte pour l'acceptation, la visibilité et le respect des droits humains fondamentaux.
Alors, la prochaine fois que je me retrouverai à me demander si je devrais m'exiler dans un pays lointain ou simplement prendre une tasse de café, je me rappellerai que la véritable réponse réside dans ma capacité à être fier de qui je suis, où que je sois. Et si quelqu'un n'est pas d'accord avec ça, eh bien, ils peuvent aller prendre leur café ailleurs !
Extrait du journal personnel (humour) de Samuel
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